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Le lycée Jules Verne de Johannesburg et nos correspondants...

 

La rencontre

 

 

 

 

 

La rencontre vue par Maryame Camara, Stecie Raza 

et Jonah Gisclon, Glory kinjal

Avant de rencontrer nos correspondants, nous avons échangé avec eux par mails ou grâce aux réseaux sociaux pendant plusieurs mois. Nous ne savions pas vraiment comment ils étaient, mais grâce aux réseaux sociaux, nous avons pu avoir une première impression qui était plutôt positive. Nous avions hâte de les rencontrer.

Nous nous sommes finalement rencontré le samedi 16 avril quand nous sommes venus les chercher au lycée. Nous sommes immédiatement allés à Montecasino pour manger, jouer et regarder un film. C’était une expérience formidable. La journée à Montecasino a été un bon moyen pour briser la glace même si les élèves de Madagascar n’avaient pas pu rencontrer tous les élèves de 3ème ce samedi. Finalement, ils ont pu les rencontrer lundi matin en cours. C’était un désastre total surtout en arts plastiques. Au fil du temps, c’était devenu simple de communiquer avec eux. Nous sommes devenus de vrais amis.                                     

Meeting our guests

Before we met our correspondents, we had been writing to them for a couple of months. So we had a vague idea of how they were, but thanks to social media, we could actually see what they looked like. Our first impressions of our new found friends were pretty positive and we were exited to meet them.
We met our correspondents from Madagascar on Saturday 16th of April when we picked them up at our school. We immediately went to Montecasino, an entertainement center, to eat and play and watch a movie. It was a fun experience and a great way to break the ice.
But not all the students in our class were there on Saturday, so they met them that coming Monday at school. It was a total disaster in our first class, artJ, but it got easier throughout the day. We all became instant friends.

 

 

 

La rencontre par Morgane, Ayman, Maeva et Julien

Tout d’abord, on a commencé notre correspondance par lettres et par email.

C’est là qu’on a pu avoir une 1ère impression de nos correspondants. On a commencé par se présenter, parler de nos activités et de nos goûts. Alors on a pu imaginer le caractère de nos différents correspondants. Généralement, on les imaginait différemment sans vraiment avoir une idée précise de ce qu’ils étaient d’eux. Quand on a commencé à parler sur les réseaux sociaux, on a tout de suite réussi à communiquer. Cependant le jour de la rencontre, nous étions très timides, autant les Sud-Africains  que les Malgaches, et les 1ères discussions ont été longues à venir. Finalement, on a passé une excellente semaine et on a réussi à bien s’entendre.

We started off by introducing ourselves to each other and then talked about the activities we enjoyed. So then we were able to imagine the personalities of one another. Generally we imagined them differently.  We were actually having a precise idea of what they were. Shy from both sides, our first discussions have been long to come. Finally we spent an excellent week and we learned to get along well.     

 

                             

La rencontre  par Baptiste, Mathilde, Arnaud, Jonathan, Huzaifa, Marc et Jonah

Les correspondants sont arrivés le samedi 16 avril. Nous attendions sur le parking lorsqu’ils sont arrivés. Ils avaient l’air très fatigué étant donné que leur voyage avait été très long. Certains ont même oublié de dire bonjour. Nous nous sommes échangés un magnifique regard scrutateur avant que chaque correspondant ne rejoigne sa famille d’accueil.

Le jour suivant, nous nous sommes retrouvés à Montecasino où nous avons pu faire connaissance. A partir de ce moment, nous avons établi une très bonne relation amicale.

The correspondents arrived Saturday, April 16. We waited in the car park for a long time when they finally arrived. They were very tired because their trip was very long. Some even forgot to greet us. We exchanged a beautiful scrutinizing look before each correspondent joined his host family.

The next day, we met at Monte Casino where we could hang out. From this moment, we have established a very good friendship.

 

 

La rencontre par Louisa, Taifa, Estelle, Aline, Gaia, Adam

Tout a commencé quand nos professeurs nous ont informés de notre collaboration avec les élèves de Madagascar. Nous nous sommes contactés par e-mails et lettres puis le projet photographique s’est mis en place. 1 an plus tard, on nous a annoncé qu’ils venaient. Quand nous nous sommes rencontrés (pas sur Facebook), nous étions surpris et contents de les voir. Au début, c’était bizarre car on ne se connaissait pas mais au fil des jours, on a appris à se connaître et à bien s’entendre. Mais on était vraiment énervés parce qu’on nous avait dit que nous étions supposés aller à Madagascar.

Everything started when our French teachers informed us of our collaboration with our Malachi’s correspondents. We corresponded by e-mail and by letters and soon after a photography project came in place. A year later, we were informed that they were coming and it strongly irritated us because we had believed for some time now that we were the ones who would be going over there. When we met in real life (not on Facebook) we were surprised and happy to see them. At the beginning, it was a bit weird because we didn’t really know each other well yet but as the days went by, we learned to know each other better and we got along well.

 

La rencontre Rudi, Anouska, Liam, Alyssa et Leia.

Tout a vraiment commencé par cette rencontre très enrichissante qui nous a permis de connaître des personnes complètement différentes.

D’un côté, les élèves sud-africains attendaient avec impatience l’arrivée des élèves de Madagascar. Mais ils étaient également nerveux de faire la connaissance avec des gens qui leur sont inconnus. En tout cas, ils pensaient que les malgaches allaient avoir trop de manières, être timides ou bien manquer de sophistication. En effet, à partir de l’échange fait sur les réseaux sociaux, on s’est fait une image de chacun d’entre nous.                                                                        

De l’autre côté, certains élèves de Madagascar avaient peur d’être mal à l’aise, surtout en ce qui concerne la communication et vivre avec des personnes dont ils n’avaient jamais rencontré. En réalité, les élèves de Johannesburg étaient en général sociables et ceux de Madagascar n’étaient pas aussi timides qu’on ne le pensait. D’ailleurs, la perception des malgaches était centrée sur la taille des élèves de Johannesburg mais aussi sur leur personnalité.

Cependant, par cette rencontre, les malgaches ont pu non seulement créer des liens avec leurs correspondants mais aussi apprendre à s’habituer à un mode de vie complètement différent.

En conclusion, les élèves ont pu apprendre énormément de choses sur chacun d’entre eux et à la fois sur les pays d’origine de leurs camarades.  

 

The encounter

It all started with the interaction between two different schools which lead to each of us finally meeting in person in South Africa.

On one hand, the South African students were impatiently waiting for the arrival of the Madagascan students but they were equally nervous to meet people they had never met in person. In all cases, they thought that the Madagascan students would have been very timid or lacking sophistication. From the communications having occurred on social media, they were able to create an image of each other.

On the other hand, certain Madagascan students felt nervous or uneasy at the thought of coming to South Africa and staying with people they had never met. In reality, the students of Johannesburg were perceived as sociable and nice and the Madagascan students where not as timid as the South African students had thought. The perception of the Madagascan students was not only based notably on their height compared to the South African students but also by their personalities.

During this meeting, the Madagascan students were not only able to create links between their correspondents but were also able to acclimate themselves to a completely different way of life.

The students seem to have learned so much about each other and each other’s home country.

 

La Rencontre par Laura, Gamilla, Tia, Hardielle

             Nous avons pris contact pour la première fois en classe de 4ème  .Cela était pour un projet sur le sacré en terre Zouloue et Sakalava. Nous avons envoyé des e-mails pour faire connaissance et mettre en commun nos idées sur le sacré. Après cela, nos professeures nous ont annoncé le projet de voyage d’étude en Afrique du Sud. Ceci n’a été établi qu’en classe de 3ème    .  

La rencontre avec nos correspondants a eu lieu au Lycée Jules Verne le samedi 16 avril. Nous nous attendions à ce que nos correspondants soient sympas et que nous soyons acceptés. Notre accueil a été chaleureux. Lundi, le premier jour de classes, nous avons eu quelques impressions. On a remarqué que l’école est beaucoup plus grande que la nôtre. De plus, les élèves sont plus privilégiés que nous. Cependant, nous ressentons une énorme différence entre nous, comme par exemple, le différence de taille, c’est-à-dire que nous sommes petits à côté d’eux.

En tant qu’élèves de Jules Verne, notre première impression sur nos camarades de Madagascar fut une surprise. En effet, nous étions au courant de leur venue mais comme nous n’avions pas de correspondant défini, l’expérience nous l’avons vécue. Lundi matin, nos attentes étaient très vagues nous avions des emails et les réseaux sociaux pour nous guider. L’expérience était vraiment agréable d’avoir un changement d’ambiance pour une semaine agréable, passée en compagnie de nos correspondants.

Meeting of the Madagascar students.

In 8th grade we have made contact for the first time, for a project on the sacred lands of Sakalava introduced by the students of Diego Suarez furthermore, the sacred Zulu lands broached by the students of Johannesburg. Therefore, we have sent one and other mails to get to know each other.

Soon after, our professors revealed to the students about the study trip to South Africa. This project was established only one year afterwards, which is in 9th grade.

The meeting with our correspondents was held at the Lycée Jules Verne Saturday, April 16th. We expected our correspondents to be friendly. Our welcome was warm. Monday, the first day of classes, we had some impressions. It was noted that the school is much larger than ours. In addition students are more privileged than us. However, we feel a huge difference between us, for example, the size difference, that is to say we are smaller than them.

As students of Joburg, our first view on the Madagascan students was utmost a surprise, we aware of their stay however, as we couldn’t welcome any student in our households, the meeting only happened Monday morning. Our expectations were transparent, with our only guides being the mails we exchanged and social networks.

All in all, it was an extremely lovely to have a change of atmosphere for a very extraordinary week with the company of our new friends   

Nos élèves se sont rendus au lycée Jules Verne et ont assisté aux cours avec leurs correspondants le lundi 18 avril au matin et le samedi 23 avril, l'occasion de travailler, en anglais et en français, avec leur correspondants sur trois ateliers pour rendre compte de leur expérience commune:

-la rencontre

-la ville de Johannesburg vue par....les "zoulous" et les "Sakalava"

-la vie d'un adolescent à Johannesburg et à Diego Suarez.... similitudes et différences

Johannesburg vue par …

 

Maryame Camara, Stecie Raza  et Jonah Gisclon, Glory kinjal

Johannesburg est une ville animée de différentes cultures, individus et âmes. Un vaste espace urbain avec des contrastes, visibles dans le paysage et également dans la population, et avec une légère séparation des classes sociales ; la pauvreté règne toujours dans la ville.

  Jozi (Johannesburg), est composée d’immenses gratte-ciel et de maisons de fortune qui dégagent une telle beauté et participent à l’originalité de la ville.

  A l’atterrissage, certains ont ressenti une bouffée de fraîcheur mais également cette sensation de l’impact de l’Apartheid, sur cette ville qui connaît encore des problèmes ; des changements sont certes visibles mais le chemin est encore long.

  Cet espace est rempli de mystères où chaque coin est une découverte qu’une adolescente comme moi ne pourrait connaître.

Johannesburg a city bustling with different cultures, people, and souls. A city vast with different shades from landscapes to people, and however a diminishing separation of classes and an omnipresent poverty. Jozi (Johannesburg): covered with sky-high buildings and ant-size shacks that withhold the same beauty with their contribution to the originality of the city.

This city is similar to the sensation of a fresh outbreak of summer upon entry, the tenuous sensibility of the impact of apartheid in the land however stays a problem, it has affected so many but embellished some as well but the separation is ever present, negatively we cannot know, positively, we cannot know either; Johannesburg is a quest an endless journey filled with mysteries where each corner holds a secret.

 

Morgane, Ayman, Maeva et Julien

    En arrivant à Johannesburg, on a été impressionnés par la différence entre l’Afrique du Sud et Madagascar. On a trouvé la ville très vivante, dix fois plus grande et beaucoup plus moderne que Diégo-Suarez. On était en admiration devant la variété des bâtiments et la grande diversité au niveau de la population. Il y a également beaucoup plus de choses à faire pour les jeunes de notre âge comme aller au cinéma, faire du paintball, du laser game, du bowling, aller au parc d’attraction et d’autres activités encore…  Plus on a visité la ville, plus ça nous a donné envie de la découvrir car c’est une ville très grande où il y a toujours de nouvelles choses à voir. C’était une expérience très enrichissante car c’est la première fois que notre collège organise un voyage dans une ville en dehors de Madagascar. 

Arrived in Johannesburg, we were impressed by the difference between South Africa and Madagascar. We found the lively city, ten times larger and much more modern than Diego Suarez. We were in awe of the variety of buildings and the diversity in the population. There are also many more things to do for people our age like going to the movies, doing paintball, playing laser games, bowling, going to the amusement park and other activities ... The more we visited the city, the more it gave us the desire to discover it because it is a very big city and there was always something new to see. It was a very rewarding experience because it is the first time our school is organizing a trip to a city outside Madagascar.

 

Baptiste, Mathilde, Arnaud, Jonathan, Huzaifa, Marc et Jonah

Johannesburg est très différente de Diego Suarez dans plusieurs domaines. Jobourg a un style nouveau. De plus, le fait que ce pays soit anglophone lui donne un  aspect jeune et propice à la communication. En effet, les élèves du lycée sont tous bilingues. Par ailleurs, j’ai pu rencontrer des étrangers en ville avec qui j’ai conversé en anglais. En arrivant, les grandes routes et les buildings nous ont impressionnés, ce qui change de notre  ville. Ensuite nous avons pu remarquer que la plupart des maisons sont protégées par des sociétés  de sécurité et entourées de fils électriques ; enfin le nombre de  voitures est beaucoup plus élevé à Johannesburg qu’à Diégo. Pour conclure, malgré l’insécurité environnante et le temps perdu dans les transports, je garderai un très bon souvenir de cette grande ville dynamique, innovante et variée.

Johannesburg is a huge change from Diego-Suarez.  Joburg has a different style, moreover, it is an English-speaking country which gives the place a young and favorable aspect. Indeed, the students of the French school are mostly bilingual. I’ve had a chance to meet foreigners with whom I could chat in English. Upon arrival; all the big roads and buildings were impressive and this was a huge change from Diego-Suarez. Another important aspect of the city is the security of the villas and the vibrant electrical protection and traffic. As a conclusion, despite all the insecurity and lost time in daunting the transport, I will forever withhold a very good memory of this dynamic innovative and variated city.

 

Louisa, Taifa, Estelle, Aline, Gaia, Adam

Johannesburg est une ville magnifique, grande et pleine d’activités. C’est aussi  une ville dangereuse. A Johannesburg, les états des routes sont beaucoup mieux que les routes à Diego. De plus, les transports à Johannesburg sont différents de Diego. Il y a beaucoup de musées  à visiter ; en revanche à Diego, il n’y en a pas, ensuite on a des parcs d’attractions ainsi que des zoos mais à Diego, il n’y a pas de parcs d’attraction sauf des manèges et il n’y a pas de zoos non plus.  Les boutiques sont beaucoup plus grandes et il y a beaucoup plus de choses que dans celles de Diego. Au contraire, à Diego, les plages sont à proximité de la ville. A Diego, il y a plus de liberté qu’à Johannesburg.

Johannesburg vue par nous est une ville où il y a tout ce dont on a besoin, sauf la plage. Il y a les boutiques, parcs d’attractions, bowling, cinéma, Fast Food et des endroits pour sortir. Notre problème est qu’il n’y a pas de transports en commun qu’on peut utiliser sans risques, ce qui limite nos libertés car on doit toujours demander à nos parents de nous déposer partout. Autrement la ville est bien, on passe de bons moments et c’est une ville sympathique où il fait bon vivre. 

Johannesburg seen by us is a city where we have at our disposal all that we need except for the beach. There are a lot of stores, attraction parks, bowling allies, movies, fast foods and plenty of places where we can go out. The only problem we have, is that we do not have public transports, which leads to our liberties to be reduced and which then leads to us relying on our parents. Although the city is good and we send amazing moments together and it’s a nice city to live in. we spend the majority of our week-ends discovering new places. Johannesburg is a magnificent city, big and full of activities. It’s also a dangerous city. The quality of the roads are better than the ones in Diego and its more developed compared to Diego. In Diego the beach is closer. There are many museums in Johannesburg compared to Diego, where there are none. The stores are bigger and have more options. The transports at Johannesburg are different than the ones in Diego.

Rudi, Anouska, Liam, Alyssa et Leia

 

Rudi, Anouska, Liam, Alyssa et Leia.

Avant de rentrer sur le territoire de Johannesburg, les élèves malgaches se sont fait une idée de cette ville qui leurs étaient inconnue.                                                                                                       

Du fait qu’il y avait des inégalités en Afrique du Sud, les élèves malgaches pensaient que cet endroit était aussi pauvre que Madagascar. D’ailleurs, lorsqu’ils étaient arrivés, ils étaient agréablement surpris par la grandeur et la beauté de la ville, la présence des différents monuments historiques, des différents lieux d’attractions et par la propreté de la ville. Cependant, des endroits leurs ont parus similaires à Madagascar comme la ville de Soweto. En outre, Johannesburg est aussi dangereuse que Madagascar ; des différences ont été également repérées comme le fait que la circulation soit à gauche, qu’il est la présence de panneau de signalisation, qu’il fasse plus froid qu’à Madagascar, etc.                                                      

En tout cas, le séjour à Johannesburg a beaucoup plu aux élèves malgaches car ils ont fait des découvertes culturelles (Le Mandela house), scientifiques (Le Musée de la science), inoubliables (Les safaris).

Pour les élèves du Lycée Français Jules Verne, Johannesburg est une ville où les élèves ont peut-être beaucoup d’activités à faire, mais pour des raisons de sécurité, ils sont plutôt limités. En effet, la ville est dynamique : il y a la présence de différentes cultures.                         

Cela permet une diversité inouïe !                                                                                                             

Cependant, la communauté de l’école française n’est pas grande, donc les élèves voient souvent les mêmes personnes.                                                                                          

Comme les élèves du Madagascar, les élèves de Johannesburg reconnaissent qu’il y a une inégalité sociale évidente entre les riches et les pauvres.

En guise de conclusion, la ville se caractérise par sa modernité et également par sa beauté                                                                                                

    Before entering Johannesburg, the Madagascan students fathomed an idea of this, supposedly, unknown city.

Because of injustices in South Africa, the Madagascan students thought it would be as poor as Madagascar. However, upon their arrival, they were pleasantly surprised by the size and beauty of the city, the presence of different historical monuments, different attractions and by the sheer cleanliness of the city. But there were also places that seemed to resemble Madagascar.
Places like Soweto.
In other words, Johannesburg is just as dangerous as Madagascar.
Multiple differences have been spotted such as the fact that traffic occurs on the left hand side of the road and that Johannesburg is slightly colder than Madagascar, etc.                          
In all cases, the trip to Johannesburg pleased the Madagascan students immensely because they got to experience cultural (Mandela House), scientific (Museum of Science) and unforgettable (Safari) discoveries.

For the students at Lycée Français Jules Verne, Johannesburg is a city where the students have lots of activities to do but for security reasons, are quite limited. In effect the city is very dynamic: there is presence of diverse cultures, and this gives way for incredible diversity.
The French School community is not very large, and so the students see each other on a regular basis. Like the Madagascan students, the French students have noticed an inequality between rich and poor.

In conclusion, the city is characterized by its modernity and its beauty. 

 

 

Laura, Gamilla, Tia et Hardielle

D’après nous la ville de Johannesburg est une ville passionnante .On peut y trouver beaucoup d’art culturelle dans les différents et énormes musées .L’histoire de l’Afrique du Sud  y est relatée. Cette ville  est très spacieuse et grande puisque en générale  les habitants se déplacent plus en voiture ceux qui créent le problème de circulation. Il y a peu de pollution et  peu de danger .Nous trouvons que les habitants sont très sympathiques et ouvert envers les autres. De plus on peut y découvrir des choses intéressantes et sécrètes et n’existe de nt pas dans les autres villes.

Johannesburg vue par les élèves de L’Afrique du Sud :

 Chacun a le droit à leurs propres opinions et pour les habitants qui vivent ici, nous voyons les imperfections de la ville les plus évidentes telles que la pauvreté, la pollution et la criminalité. Quand L’on vit à Johannesburg on ne peut pas simplement marcher d'un endroit l'autre sans quelque sorte de conflit. Mais l'endroit a énormément de beautés, les sites et des trésors historiques. Lorsque nous visitons de nouveaux endroits de temps en temps , comme le graffiti sur le mur de la CDB que nous avons visité pour la classe d'art ou le théâtre  de la ferme des animaux au centre du théâtre de joburg nous avons assisté grâce à nos cours de français . Chaque nouvelle découverte dans la ville fait ressortir la créativité en nous et nous pousse à apprécier cette ville défectueuse.

On our mind Johannesburg is an exciting city .We can find many cultural art in various museums and huge. South Africa’s history is reported. This city is very large and great because in general the people are moving more and drive those who create the traffic problem. There is little pollution and a little danger .We find that the locals are very friendly and open towards others. In addition you can discover there the interesting and secret things and do not exist in other cities.

View on Johannesburg by South Africa‘s student

One is entitled to their own thoughts, for the people that live here there will see all the imperfection of the city such as the poverty, the pollution and crimes. When you live in Johannesburg you can’t just walk from one place another without some sort of conflict. But the place has many beauties, historical sites and treasures. We learn to go to new places from time to time, such as the graffiti on wall in the CBD that we have visited for art class or the play of animal farm at the joburg theater center we witnessed for French class. Each new discovery in the city brings out creativity within us and pushes us to appreciate this flawed city.

  

Etre un adolescent à Johannesburg et à Diego Suarez

 

par Maryame Camara, Stecie Raza  et Jonah Gisclon, Glory kinjal

À johannesburg

  Etre une jeune dans Johannesburg c’est un mélange d’anxiété, d’éblouissement et surtout de peur. Johannesburg est une ville où, malgré toute sa beauté et son aspect européen dans un contexte africain, la criminalité assombrit la conscience et la peur et l’insécurité se grave dans mon cœur.

  Certaines personnes sont juste remplies d’amertume à cause des conséquences des inégalités sociales ; ils s’en prennent aux personnes privilégiées comme moi, étant une adolescente de Joburg, ayant une vie aisée qui me donne beaucoup d’opportunité pour m’amuser, en allant faire du shopping, aller manger dehors ou faire la fête. Mais, je sais que ma vie routinière à Joburg est une séparation de ma pauvre réalité africaine. L’adolescence est un effort, à Joburg nous sommes entourés de crimes et remplis de peur, nous sommes exposés à beaucoup de problèmes que nous n’avons pas dans nos autres pays. Etre une adolescente vaut la peine de l’être malgré les obstacles.

Being the youth of Johannesburg is a mix of anxiety, awe and mostly fear. Johannesburg is a city where, despite all the beauty and European sensational modernity in an African context, the crime here drenches my conscience and thoughts in fear and insecurity. Some people are just filled with bitterness because of the consequences of social inequality they take out their anger on the most privileged, like us.

 Being a teenager in Johannesburg as a person from a privileged background gives me so many opportunities to shop, eat, and party. I know that my life routine in Joburg is different from that of the “poor” African reality. Teenage life is an effort in Johannesburg, we are surrounded by crime and drenched in fear, we are exposed to many things we do not have back in our countries. All in all, being a teenager in Johannesburg is worthwhile despite the obstacles;

À Diego Suarez

Diégo-Suarez est une ville qui se situe au nord de Madagascar. Cette ville où on trouve un climat tropical, est composée de nombreuses plages et sites touristiques. Diégo est pas très peuplée, mais très festive. Cependant, l’insécurité est l’un des majeurs problèmes qui empêche les adolescents, comme nous, de sortir, de s’amuser ou de faire la fête. Mais comparé à Joburg, nous avons plus de libertés : comme manger une glace avec les amis en terrasse, se promener en ville librement. Nous pouvons également passer la journée au bord de la mer…chose qui n’est pas possible à Johannesburg.

En ce qui concerne le shopping, Johannesburg est la ville rêvée par les diegolais : en effet, les malls sont immenses, les marques les plus connues nous sont accessibles…

Les weekends à Diego, on les passe la plupart du temps à la plage, tandis qu’à Jozi, on les consacre au shopping, au cinéma etc…

On aime bien Joburg mais on préfère notre ville natale. Etre ado à Diego est plus simple qu’être ado a Joburg.

Diego Suarez is a city located north of Madagascar. This city where there is a tropical climate, is composed of many beaches and tourist attractions. Diego is not very populated, but very festive. However, insecurity is a major problem that prevents teenagers like us to go out, have fun or partying. But compared to Joburg, we have more freedom: like having ice cream with friends on the terrace, walk freely in town. We can also spend the day at the seaside ... something that is not possible in Johannesburg.

Regarding shopping, Johannesburg is the perfect city dreamed by the diegolais people: indeed, the malls are huge, the most known brands are accessible to us...

Weekends Diego, it spends most of the time at the beach, while in Johannesburg, it devotes to shopping, cinema etc. We like Joburg but we like our hometown. Being a teenager at Diego is easier than being a teenager at Joburg.

 

Par Morgane, Ayman, Maeva et Julien

À Johannesurg

Etre un adolescent à Joburg n’est pas très agréable, c’est compliqué de sortir, et c’est assez ennuyeux. On ne peut pas marcher dans la rue, et il y a énormément de problèmes de sécurité.

A DS, en dehors des cours, on passe la majorité de notre temps à se balader dans la rue. Nos parents ne craignent pas pour notre sécurité. Il y a très peu d’activités pour nous et on refait souvent les  mêmes choses. On se retrouve souvent lors des fêtes où tout le monde s’amuse et danse sans complexes.

Being a teenager in Joburg is not so pleasing, it is complicated to go out, and it is pretty boring. We cannot walk in the streets, and there are a lot of problems when it comes to security.

In Diego, besides being scholars, our free time is basically leisure activities as we walk and explore the streets of the city. Our parents do not have worry for us because we are safe in our city. Although there are not many activities and we often repeat the same activities we are contented with what we have. We often party together and enjoy having fun and dancing with no worries. 

À Diego

A Diego, il y a peu d’activités mais plus de liberté. De plus à Joburg, il y a beaucoup d’activités et beaucoup de monde mais à cause du trafic, on peut perdre jusqu’à deux heures. De plus, il y a peu d’activités pour les jeunes à Diego. Nous traînons dehors à la plage le week-end. Bien que Diego soit une belle ville, elle est assez déserte. En raison de la situation géographique de Joburg, il n'y a pas de plages, mais seulement des lacs et des rivières. C’est ce qui valorise pour moi l'emplacement de Diego parce que j'aime beaucoup la plage.

In Diego there are few activities but much freedom. Moreover in Joburg there are many activities and a lot of people but due to that there is a lot of traffic jam which can take up to two hours. The activities for young people in Diego are not numerals: we hang out at the beach at the weekend. Although Diego is a beautiful city, the lack of people overwhelms the awe inspiring beauty of the city. In Joburg because of its geographical location there are no beaches but only lakes and rivers, which valorizes for me the location of Diego because I very much enjoy the beach.

 

 

Par Louisa, Taifa, Estelle, Aline, Gaia, Adam

La vie d’adolescent à Diego et à Johannesburg est complètement différente. A Diego, les adolescents ont plus de liberté car la criminalité y est moins présente. Cependant, ils n’ont pas beaucoup d’activités à faire malgré leur liberté. Leur seul moyen de se divertir le week-end est d’aller à la mer car, en effet, elle est située à proximité de Diego. En revanche, comme la ville de Diego est petite, les adolescents peuvent se déplacer à pied (sans déranger leurs parents, contrairement à Johannesburg où la ville est grande et dangereuse). A Johannesburg, les adolescents sont surveillés, en effet, ils ne peuvent pas se déplacer tout seuls, mais ils passent souvent leur après-midi dans des centres commerciaux, tel que Rosebank, ou Sandton… Ils doivent également acquérir une haute vigilance car le danger y est très présent.

 

The life of an adolescent in Johannesburg and in Diego is completely different. In Diego, teens have a lot more freedom because criminality is lesser than in Johannesburg. However, they don’t have a lot of activities to do even though they’re so free. The only way for them to get entertained on the week-ends is to go to the sea, because it’s situated near Diego. But, because Diego is rather small, adolescents can go from point A to point B by foot (without disturbing their parents, unlikely in Johannesburg where the city is large and dangerous). In Johannesburg, teens are under surveillance, they can’t move around alone, but they spend most of their time at the week-ends in malls like Sandton or Rosebank… They also have to be vigilant because danger is more present than in Diego.

 

Par Rudi, Anouska, Liam, Alyssa et Leia

À Johannesburg et à Diego Suarez ?

À Diego Suarez, les adolescents semblent être libres de faire ce qui leur plaît. En effet, la semaine est chargée par les cours sauf le week-end où ils profitent de leur temps libre en faisant des activités extra-scolaires, en allant à la plage, en pratiquant des sports, en faisant des promenades dans la ville que ce soit en famille ou avec les amis.                                                                                                                             

D’autres organisent des sorties ou des fêtes, dans les restaurants, à la maison pour s’amuser.               

Mais certains préfèrent rester à la maison pour regarder la télé, lire, jouer, ou bien dormir.

À Johannesburg, les adolescents ne sont pas aussi libres qu’à Diego Suarez. Ils travaillent moins d’heures que ceux de Diego Suarez et ont des pauses suffisantes. Ils pratiquent souvent les mêmes activités, font du shopping en ville ou dans la capitale. De plus, ils ont beaucoup de choses à visiter. Par contre, ils doivent agir avec précaution dans la ville pour des raisons de sécurité.                                         Ils disent notamment qu’ils sont très encadrés car soi-disant, ils ne sont pas majeurs.

Regarder ces deux mondes est  très surprenant parce qu’ils sont si différents mais les adolescents sont assez similaires !

 

In Diego-Suarez, the teenagers are supposedly free to do whatever they please. During the week, most of the time, they spend most of their time at school but during the weekends they take advantage of their free time. They do extra-curriculum activities, go to the beach, play sports, go on long walks or stroll around, they get around by bicycle, motorcycle or car, but also spend time with their families. Others may organize outings to go eating together or parties at their houses to have a good time. On the other hand, there are some teenagers who prefer staying at home and simply watching television, reading, playing around or even sleeping.

In Johannesburg, the teenagers aren’t as “free” as the students in Diego-Suarez. They may work less hours then their fellow students in Madagascar and possess a sufficient amount of breaks at school but they don’t live the same lives. They do the same activities often, this may include going to the movies or going to the mall. The teenagers have a lot of things to visit in the city but for security reasons they can only do certain visits with their parents. Their lives are, supposedly, “boxed in”, because of their parents.

Looking at these two worlds is surprising because we learn that both are different but the teenagers are quite similar.  

© 2015, by Muriel Malus

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